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blog du ptio gros^^

7 décembre 2005

Comme une feuille Comme une feuille, Je me laisse

Comme une feuille

 

Comme une feuille,

Je me laisse dériver au gré du courantlarme_copie1

Comme une feuille,

Je me laisse ballotter au gré du vent,

Au rythme des vagues,

Je te vois qui me nargue,

Dans ton regard rempli,

De satisfaction et de mépris.

Je m’évertue à comprendre,

Comment tu as pu lui prendre,

Mais la seule chose que je vois,

C’est le courant de la vie,

C’est le courant qui s’ennuie,

Qui s’ennuie comme moi.

Mais la seule chose que je sens,

C’est le souffle du vent,

Le vent qui est mort,

Et qui n’attend que moi !

 


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30 novembre 2005

tant de petites paroles,qui doucement

tant de petites paroles,
qui doucement s'envolent.
gommées d'un seul trait,
et d'un coup soufflées.

une tirade coutre,
qui traverse notre esprit,
avec fébrilité on l'écrit,
et on prend la porte.

on ne l'énnonce pas,
si s'était le cas,
le mal emplirait,
notre coeur ajouré.

car l'autre sait,
ce qui nous défait,
et nous ne pouvons,
faire autre chose que de tourner en rond.

en cour de math mdr

29 novembre 2005

l'indifférence me blesse.

l'indifférence me blesse,
ta compagnie m'apaise,
pendant qu emoi je m'afaisse,
toi tu te met à l'aise,
l'empire de ton nom,
a laissé dans mon coeur,
un horrible non!
que tu m'a dit par malheur.

28 novembre 2005

bonne nuit à toi, moi ami

week-end génial,
lundi pire que banal,
en plus pas d'anours pour aller dormir,
oulala, je vais avoir du mal à dormir,
cette situation m'énerve,
et àmon avis je ne suis pas le seul.
j'aimerais tant que tu m'accompagne comme dans mes rêves,
mais je suis attaché par ce linceul.
nous sommes deux,
toi mon ami,
ce post je te le dédie,
même s'il n'est pas fini!
bonne nuit :p

27 novembre 2005

peluche

 

Peluche.

ourson
 Pleurer sur une peluche,
Laisser ses larmes couler,
Pour que tout de suite elles soient absorbées
Par cette grande faluche

 Que dès qu’on voit,
On a envie de dévorer.
Cette chose que dieu nous envoi,
Pour nous réconforter.

 Ah crapule ! Ah bidouille !
Vous et vos noms d’andouille
Qu’on vous donne pour sourire,
Et pour oublier le pire.

 Vous qui vous usez avec le temps,
Comme nos souvenirs d’enfants.
Vous et votre regard,
Vos petits yeux noirs,

 Qui semblent nous fixer,
Où qu’on aille,
Comme pour découvrir,
Toutes nos failles.

 Vous en avez du boulot !
Tant de choses sur votre petit dos.
Et ce n’est pas demain la veille,
Que vous finirez une tache pareille.

 Mais avec toi,
Ma peluche préféré,
Je ne souhaite même pas
Etre vraiment apaisé.

 Je veux simplement,
Te confier mes tourments.
Et en silence m’endormir sur ton épaule.
Au lieu de me fracasser la tête sur ce saule. 

Je te laisse méditer,
Au matin venu,
A la nuit perdue,
Ce moment où je m’en vais. 

Où je suis obligé,
De seul te laisser.
Chose que je fais à regrets,
Car je voudrais passer ma vie à tes côtés

carte070coussin_coeur

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26 novembre 2005

les larmes

19721553Les larmes,
Les armes,

Les miennes,
Coulantes le long de mes joues,
Brûlantes et rendant mon regard flou,
Libérant une partie de ma peine,

Le sang,
Surprenant,

Ma peine,
Coulant le long de mes bras,
Brûlant et tombant ici bas,
Libérant une partie de ma haine.


25 novembre 2005

le feu

Encore une soirée,feu1
Emplie de haine et de pavés,
La faute à qui,
A tout le monde pardi !!!

Un peu d’huile par ici,
Un peu d’essence par là,
Il y a bien de quoi,
Faire un feu bien joli.

Enflammons l’allumette,
Qui nous brûleras le cœur,
Noirci comme une cigarette,
Qui vous détruit avec lenteur.

Mettez-vous à l’abri,
Durant toute la nuit,
Car aujourd’hui c’est écrit,
Nous allons faire du bruit.

Un cri éclate avec fracas,
Au milieu du noir froid,
C’est pourquoi nous allons,
Allumer ce feu si bon.

Il vous suffit de nous échauffer,
Pour que le feu s’allume,
Et que d’une flamme bleuté,
Notre regard se consume.

Soudain une envie de tuer,
S’empare de notre esprit,
Qui soudainement écartelé,
Laisse place à la folie,

Nos mains saisissent un cou,
Notre cœur encaisse un coup,
L’étreinte des mains se resserre,
Allez vous enfin vous taire ?

Les muscles se tendent,
Une violente scène de combat,
Bientôt se déroulera,
Sous un ciel de cendre.

Nous retrouvons un mégot,
Il est passé ici,
Le feu en a fini,
Et nous rentrons penaud…

25 novembre 2005

je vous aimes

Je vous aime

Cette envie est forte,
Le besoin encore plus,blood_eye2
Vous que je croyez mortes,
Pourquoi vous retiendrais-je encore plus ???

Pour ne pas me rendre ridicule,
Je n’en ai que faire,
Pour ne pas que les autres spéculent,
Ce serait complètement arbitraire,

Allez-y, coulez,
Arrêtez de me torturer,
J’aimerai tant vous voir,
Même dans un simple mouchoir,

Je vous aime,
Mais cela fait si longtemps,
J’aimerai que l’on m’emmène,
A travers forêts et champs,

Que l’on me montre encore,
Ce qu’il y a de beau,
Ce qu’il y a de fort,
Et qui n’est pas sot,

Et alors là,
Sans prévenir,
Ni vous, ni moi,
Vous allez sortir,

Et me faire regretter,
Tous les jugements trop hâtifs que j’ai proférés,
Vous allez couler,
Et enfin, depuis ses longues années,

Je pourrais vous admirer de nouveau,
En me disant que vous êtes ce qu’il y a de plus beau,
Et que celui qui n’a jamais pleurer,
Ne sera jamais comblé,

Je vous verrais,
Brillantes de milles feu,
De ce qu’il y a de plus vrai,
De ce qu’il y a de plus bleu.

t_snifVous chuterez,
Et vous éclabousserez,
Mes rêves tout blancs,
Mes rêves d’antan,

Qui me promettaient d’aimer,
Et de se réaliser,
Mais maintenant je sais,
La plus belle chose que j’ai,

C’est une larme,
C’est mon arme,
Inutile à vos yeux,
Mais qui brûle comme le feu,

Je vous aime,
Ne me quittez pas,
Vous qui êtes si saines,
Et que je ne regrette pas…


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